Comme en 2014, la puissance de la mer a rappelé la fragilité du site de Saint-Martin-de-Bréhal, qui n’est qu’une presqu’ile de sable, heureusement protégée par le puissant enrochement construit en 1972, qui a bien résisté cette fois encore. Il n’y a finalement pas eu de gros dégâts, à l’exception de la "cale à Tonio" (devant l’école de voile) qui a été disloquée... Des congères de sable de plus d’un mètre se sont formées sur la promenade Jean Sesbouë.
Les photos ci-dessous témoignent de la violence des éléments naturels et ont été prises par plusieurs membres du groupe FaceBook Saint-Martin-de-Bréhal, que nous remercions chaleureusement.